Dans le sol sous les pupitres, on voit les empreintes des pattes du diable. Selon l’écrivain W. Staring (de Gueldre) le moine Jaromir attrapa le diable lorsque celui-ci était en train de savourer un poulet en plein carême. Pour le punir, le diable le cloîtrait jusqu’au lendemain matin, en laissant ses traces.